Catégories
Pour ceux qui ont déjà lu le roman Pour les futurs lecteurs

La cuisine de Tyarah

Originaire d’Afrique du Sud, Tyarah est l’un des personnages clés de La douceur angevine. Elle amène sa culture et sa vision du monde, apportant une ouverture sur un ailleurs. Au fil du roman, elle partage beaucoup d’elle-même avec Olivia, Sylvestre, Mélissa… et chacun des personnages, et notamment sa cuisine.

Je vous propose ici une recette du Bobotie, que j’ai réalisé pour ma part en suivant celle de Quitoque, que je vous recommande et vous partage ici :

Cette recette n’est pas technique, mais sa réalisation est un peu longue (compter 1 heure). Il suffit donc de s’y prendre à l’avance.

Ce que j’ai particulièrement aimé : l’équilibre entre les goûts salés et sucrés et entre la salade rafraîchissante et le gratin réconfortant.

Astuce n°1 : hors saison, la nectarine peut être remplacée par un autre fruit, dès lors qu’il est doux et sucré. Exemples : banane, mangue…

Astuce n°2 : personnellement, je « lève les suprêmes » du citron (mots savants pour dire que je ne garde que l’intérieur des quartiers sans la peau et le blanc), que je trouve sinon peu agréables à manger dans une salade.

Cela vous donne envie ? Alors réalisez votre propre Bobotie et partagez vos photos avec moi (la photo de couverture de cet article est un plat fait maison par moi-même – comme vous le voyez, je n’en suis pas peu fière) !

Vous pouvez aussi tenter la recette du Bredie, un ragoût de la gastronomie sud-africaine dont vous me direz des nouvelles…

Pour rappel, aucun de mes textes ou articles n’est sponsorisé ou réalisé en partenariat avec une marque, je ne gagne pas d’argent ou d’avantage en faisant la promotion de quoi que ce soit.

Catégories
Pour ceux qui ont déjà lu le roman

Idées culturelles

Dans le roman, j’évoque des références à de nombreuses oeuvres : des livres, des chansons, des films… À quelques rares exceptions près (que vous avez probablement identifié rapidement), ce sont des repères qui ont jalonné ma vie et la construction de mes réflexions. Je me suis dit que j’allais vous suggérer les meilleures (selon moi, donc nous ne serons peut-être pas d’accords !).

Côté littérature, je pense en particulier à Malevil de Robert Merle, qui nous immerge dans un univers post-apocalyptique suffisamment contemporain pour s’y croire vraiment. Plus récemment, La constallation du chien de Peter Heller m’y a fait penser, de par son thème mais aussi son rythme d’écriture, à la fois contemplatif et haletant. 

Dans un tout autre style, Un été dans l’ouest de Philippe Labro, est le roman initiatique d’un jeune français parti passer l’été dans le Grand Ouest américain (attention, c’est la suite de L’étudiant étranger). 

Aux antipodes de ces romans contemporains, la magnifique saga Les annales du Disque-Monde de Terry Pratchett ravira les amateurs de fantasy burlesque. Ne passez surtout pas à côté des notes de bas de page qui sont souvent hilarantes. 

Et bien évidemment, Paroles de Jacques Prévert, qui est un peu la colonne vertébrale de mon roman : un recueil de poèmes très accessibles, alternant émotion et humour.

Côté musique, tout dépend de votre humeur du moment. 

Pour une ambiance tout en douceur, je ne peux que vous suggérer Guantanamera de Compay Segundo, Tout simplement de Bibie ou The fields of joy de Lenny Kravitz. 

Si vous voulez que ça bouge un peu plus, optez pour I gotta feeling des Black Eyed Peas ou Tout le bonheur du monde de Sinsemilia. 

Et si vous voulez vous amuser, il y a aussi La banane de Philippe Katerine ou encore Bécassine is my cousin de Chantal Goya (mais là, c’est du non garanti, non remboursé).

Enfin, côté cinéma, je ne peux que vous conseiller de vous prendre un petit shoot de vieux dessins animés Disney pour retomber en enfance (Les Aristochats ou Les 101 Dalmatiens par exemple), de revoir La cité de la peur pour le plaisir de connaître toutes les répliques par coeur (si ce n’est pas encore le cas, honte à vous) ou encore de regarder Ensemble, c’est tout, le film de Claude Berri tiré du roman d’Anna Gavalda (au fait, je vous avais dit qu’elle avait été ma prof au collège ?).

Les débats sont ouverts…